Avec la donnée numérique, les relations entre acteurs publics, acteurs privés et usagers évoluent
radicalement.

3 agents publics et 1 juriste spécialisé sur la politique européenne en matière de donnée, proposent leur vision et leurs expertises pour aider les collectivités territoriales à réussir leur transformation « Data ».

 

Dans cette nouvelle « économie de l’immatériel », les instances publiques européennes et françaises se sont engagées dans une politique de mise à disposition et de réutilisation libre et facile des données publiques.
La loi NOTRe et la loi pour une République numérique ont redistribué quelques cartes et placé entre les mains des collectivités quelques atouts qui, selon la façon dont elles vont en disposer, peuvent être considérés ou non comme contraignants.
Le récent rapport du député Éric Bothorel nous rappelle que ce sujet reste toujours d’actualité.
Il mérite de connaître un deuxième âge : celui du passage à l’échelle !
Il est certain que l’enjeu d’innovation par la donnée a d’ores et déjà généré des déséquilibres économiques, symbolisés par le Big Tech, et démontré, par des retours d’expérience bien réels, que l’exploitation sans éthique – ni qualité – de la donnée pouvait aboutir aux pires effets, allant
jusqu’à la privation des libertés.
Il faut donc arriver à défendre une vision humaniste de cette nouvelle ère numérique, rendant compatible le progrès technologique et les progrès des démocraties. Et c’est bien dans cet idéal
qu’est pensée l’open data.