De plus en plus d’organisations réfléchissent à l’engagement de leurs salariés. Parmi les pistes de recherche managériale, il y a l’intrapreneuriat. Ce modèle est vertueux, à la fois pour le salarié qui retrouve une marge de liberté dans ses décisions et dans ses actions, mais également pour la structure qui voit émerger des « solutions » dans ces cycles courts de production.
Pour devenir une expérience réussie, 4 dimensions doivent être respectées :
– Conserver une petite dimension dans l’équipe : plus on est petit, plus il est facile d’être agile !
– Assurer un mentorat pour « aider » l’équipe à s’extraire des contraintes inhérentes aux processus historiques de l’organisation. Il s’agit de protéger la startup des entraves « bureaucratiques » à sa marge d’action. Ce cadre doit être négocié en amont avec la direction générale.
– Tout miser sur l’expérience : utilisateur, collaborateur… le secret de la réussite ou les vertus de l’échec, résideront dans la capacité à devenir « UX » ou « centré utilisateur », en résumé, savoir se mettre « à la place de »… et bien comprendre les besoins et problématiques pour lesquels on recherche des solutions.
– Enfin, expérimenter et tester pour s’améliorer en continue !
Même le public s’y est mis.
Pour plus d’info : lisez l’article d’Horizons publics « La startup publique interne, un modèle d’excellence opérationnelle » et visitez le site des startups d’Etat
Idée intéressante car motivante et source d’enrichissement personnel et pour la structure. Malheureusement trop peu développée encore